Doctorante / PhD Student
Thèse soutenue le 01/12/2020

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CEFE/CNRS UMR5175

Project: Influence of group size on the socio-demography of Plains zebras living under predation risk

Supervisor: Simon Chamaillé-Jammes

Objective: Focusing on Plains zebras Equus quagga, the aim of my PhD is to assess the impact of an increase in group size on competition, vigilance, space use and associated decision-making, and ultimately the demographic performance of individuals.

Key-words: sociality, predation, demography

Generally, we expect to see fitness benefits of increasing group size due to a reduction of predation risk (dilution and detection effects) and/or an increase in foraging efficiency (through reduced individual vigilance), until costs of intragroup competition counterbalanced those advantages. However, the relation between demographic performance of individuals (fecundity, survival and growth) and group size has rarely been tested directly. Thus, the link between dilution/detection effects and demographic performance under predation risk remains mostly theoretical. If survival is affected by group size, this may also influence the dynamics of group formation and between-group movements of individuals. Finally, inter-individual variability (reproductive status, personality, risk sensitivity) could impact on dilution/detection effects and thus need to be considered.

En règle générale, nous nous attendons à ce que la taille du groupe améliore la fitness des individus en raison de la réduction du risque de prédation (effets de dilution et de détection) et/ou de l’augmentation de l’approvisionnement (vigilance individuelle réduite), jusqu'à ce que les coûts d'une compétition accrue à l'intérieur du groupe en compensent les avantages. Cependant, peu d'études ont été en mesure de tester directement la relation entre la performance démographique des individus (fécondité, survie, croissance) et la taille des groupes. Ainsi, le lien entre effets de dilution/détection et performances démographiques dans un contexte de risque de prédation reste essentiellement théorique. Si la taille du groupe impacte sur la survie des individus, cela pourrait également influencer la dynamique de formation des groupes et des mouvements intergroupes des individus. Enfin, la variabilité inter-individuelle (statut reproduction, personnalité, sensibilité au risque) pourrait modifier la force des effets de dilution/détection et doit donc être prise en compte.