• Alan VERGNES

    Alan Vergnes trombiMaître de Conférences

     Université Paul-Valéry Montpellier 3

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    Google Scholar

     

    Soil(s) Fictions : http://cargocollective.com/soilfictions/About

     

    Résumé :
    Diplômé d’un doctorat en écologie, le cherche à mieux comprendre les effets qu’induisent les modifications de l’environnement à différentes échelles – du paysage à la parcelle - sur les communautés, les populations et les traits des invertébrés du sol. J’analyse les effets des changements d’occupation du sol, comme l’urbanisation, sur les communautés et les interactions. Je m’intéresse fortement aux problématiques d’agroécologie, dans les paysages ruraux mais aussi urbains.J’ai des compétences fortes dans l’intégration de la dynamique spatiale des processus, dans la détermination d’invertébrés. je fais partie d’un collectif « art-science » qui vise à sensibiliser le public à la protection des sols.

     

    Mots-clés :
    Ecologie du paysage ; écologie des sols ; invertébrés des sols ; systèmes anthropisés ; dispersion ; agro-écologie ; régulation biologique

     


  • Bertrand SCHATZ

     

    B Schatz

    Directeur de recherche au CNRS, CID 52

     

    Je m’intéresse à l’écologie de la pollinisation, à l’évolution des interactions plantes-insectes et à la conservation de ces communautés. Mes travaux concernent surtout les figuiers en milieu tropical et les orchidées en milieu méditerranéen et ils portent sur la compréhension fondamentale de ces interactions et l’opérationnalité de leur conservation.

     

    I am interested in pollination ecology, in the evolution of plant-insect interactions and in the conservation of these communities. My studies concern tropical figs and Mediterranean orchids and they are focused on the fundamental understanding of these interactions and using fundamental insights for operational conservation.  

     

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  • Interactions Humains Animaux

    Notre équipe travaille sur les interactions entre humains et animaux selon une approche interdisciplinaire qui tient explicitement compte de leurs caractéristiques biologiques, comportementales, sociales et culturelles. Nous nous intéressons en particuliers aux questions de gestion de la faune sauvage et des animaux domestiques en interaction avec les activités humaines. Nous évoluons le long d’un gradient qui va de la conception et de la mise en place de protocoles d’échantillonnage, l’étude de la dynamique et de la distribution des populations, l'étude des savoirs écologiques, des perceptions et des pratiques des acteurs impliqués dans la gestion, jusqu’aux recommandations de gestion et la contribution aux processus de prise de décision et d’élaboration ou d’évaluation de politiques publiques de gestion et de conservation de la nature.

    Afin d’étudier la dynamique des populations sauvages nous développons des méthodes et outils statistiques. La plupart de nos travaux s’inscrivent en biologie et géographie de la conservation. Ceux-ci cherchent à développer des interfaces entre spécialistes en statistiques et gestionnaires d’aires protégées ou conservationnistes pour mieux étudier l’évolution des paramètres démographiques et populationnels des espèces et ainsi définir des politiques de protection, de prélèvement et de gestion plus adaptées.

    Nos travaux mobilisent également des approches et méthodes sociologiques, ethnologiques et de géographie humaine afin de mieux comprendre les relations entre humains et animaux. Nous étudions les savoirs écologiques et éthologiques des populations locales et les rétroactions entre dynamiques de population, écologie spatiale et géographie animale selon les perceptions et pratiques des chasseurs, éleveurs, bergers, agriculteurs, gestionnaires d’aires protégées et environnementalistes.

    A partir de l’analyse des controverses sociopolitiques ou dans le cadre de projets de recherche-action relatifs à la gestion de populations gibiers, des dégâts liés au gibier ou aux grands prédateurs, de populations d’espèces menacées, nous explorons dans différents contextes socio-écologiques, comment l’écologie et les comportements des animaux domestiques et sauvages façonnent les relations des humains avec ces animaux et les réseaux de relations complexes et dynamiques entre acteurs humains ; et comment en retour ces relations façonnent l’écologie et les comportements animaux dans le temps et l’espace.

    Notre équipe a ainsi une activité fortement interdisciplinaire, croisant l’écologie, la géographie, l’ethnologie, la statistique et la modélisation mathématique et multi-agents spatialisée ou non. Nous réalisons une approche critique de nos approches interdisciplinaires et conduisons une réflexion spécifique de longue haleine sur l’interface science/gestion et l’efficacité des politiques publiques. Nous nous impliquons dans de nombreuses missions de conseil scientifiques auprès des services de l’Etat, des gestionnaires d’aires protégées, des organismes locaux, régionaux et internationaux en liens avec la gestion, l’exploitation et la conservation de la faune sauvage. Nous enseignons dans des masters et spécialisations de plusieurs Grandes Ecoles et Universités, en France principalement. Enfin, nous organisons régulièrement des formations spécifiques pour le milieu socio-professionnel des gestionnaires de la nature, les étudiants et les chercheurs.

    Nous entretenons de solides partenariats de long terme avec des acteurs publics (OFB, ex. AFB et ONCFS, Parcs Nationaux), para-publics (CBN, ONF, Réserves naturelles de France, Fédération des Parcs naturels régionaux) et privés (bureaux d’étude, zoos, associations). Partant du constat que nos doctorant.e.s et post-doctorant.e.s ne trouveront pas tou.te.s un poste académique, nous entretenons des liens étroits avec le milieu non-académique dans le souci de leur intégration professionnelle.

    Les trois axes qui structurent l’équipe sont :

    Axe 1 : gestion des populations animales exploitées

    Modèles d’étude : ongulés (sangliers) et oiseaux.

    Partenariat fort avec OFB (ex. ONCFS/AFB) et Fédérations départementales de chasseurs   

     

    Axe 2 : gestion des populations de grands mammifères

    Grands carnivores (ours, loup, lynx) et cétacés (grands dauphins)

    Partenariat avec fort ONCFS, FDC, associations

     

    Axe 3 : formation

    Outre l’enseignement académique classique dans lequel nous sommes investis, notre équipe a une activité conséquente dans la formation sous forme d’ateliers pour l’OFB, les bureaux d’étude, la formation continue et les collègues universitaires. Ces formations ont clairement une forte composante de transfert soit des méthodes de modélisation mathématique et d’analyses statistiques de données de sciences écologiques ou humaines, soit des méthodes d’intégration des sciences humaines et sociales avec l’écologie dans des dispositifs interdisciplinaires de recherche ou de recherche-action dans le contexte des interactions humains/animaux ou aires protégées/non protégées.

  • MORIN Xavier

    Directeur de Recherche (DR2)

    CNRS Researcher 

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    CEFE/CNRS
    Campus du CNRS
    1919, route de Mende
    34293 Montpellier cedex 5

    Tél : +33 (0)4 67 61 32 89
    Fax : +33 (0)4 67 61 33 36

    xavier dot morin @ cefe dot cnrs dot fr

     

    HDR : Impact des changements globaux sur la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes forestiers - soutenue le 11/2/2021
    Lien : HDR Xavier Morin

     

    Thèmes de recherche

    (English follows)

    Mes travaux cherchent à parvenir à une meilleure compréhension du déterminisme de la diversité végétale aux différentes échelles spatiales et temporelles, sa réponse aux changements futurs, et son rôle dans le fonctionnement des écosystèmes forestiers. En particulier, je cherche donc à comprendre et prédire comment la biodiversité des écosystèmes forestiers s’organise selon différentes échelles spatiales, comment elle sera modifiée par les changements globaux, et quelles en seront les conséquences sur le fonctionnement de ces écosystèmes. Pour ce faire j’essaie de développer une approche intégratrice basée sur les processus. Mes travaux se focalisent principalement sur les espèces d'arbres et arbustes. Pour mener à bien ces objectifs, j’utilise aussi bien des résultats issus d’expérimentation, d’observations le long de gradients écologiques in situ, et de modélisation.

  • Raphaël MATHEVET

     

     

    altDirecteur de Recherche CNRS (DR1)

      CEFE/CNRS
    Campus du CNRS
    1919, route de Mende
    34293 Montpellier 5

    tél : +33 4 67 61 32 77
    fax: +33 4 67 41 06 16

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  • Sophie CAILLON

    Sophie Caillon

    Chargée de recherche au CNRS (HDR)
    Ethnobiologiste / géographe

    Responsable de l'équipe Interactions bioculturelles
    Chercheure associée à l'UMR CREDO
    Porteur du projet PICS Bien-Etre
    Membre de l'ANR ASSET, du projet Crop-Diversity LICCI et du projet UE FALAH

     

    A travers un engagement ethnographique avec les agriculteur·rices, je cherche à décrire et comprendre les relations des humains avec leurs plantes, leur rapport à l’espace ou au lieu, et plus largement le rôle des organisations sociales et des institutions dans l’élaboration et la transformation de ces relations. Mes objectifs sont de comprendre comment (i.e. savoirs, ontologies et pratiques) et pourquoi (i.e. valeurs instrumentales, intrinsèques et surtout relationnelles), les agriculteur·rices gèrent, maintiennent et expérimentent une diversité de variétés et d’espèces. Plus récemment, mon objectif est d’identifier les valeurs de bien-être bioculturel chez les agriculteur·rices d’Océanie et de France (vigneron·nes).

    Mes travaux se déclinent ainsi en quatre thèmes : (1) Savoirs hybrides et classification des plantes ; (2) Valeurs associées à l’agrobiodiversité ; (3) Circulation des semences et des savoirs ; (4) Bien-être des agriculteurs.

     

     

  • Sylvain PIOCH

    altSylvain PIOCH

    Maître de conférences, HDR Géographie et Aménagement de l’espace, Université Paul Valéry-Montpellier III

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    Sylvain Pioch, est docteur en géographie et aménagement de l’espace ainsi qu'ingénieur écologue (AFIE). Ses travaux de thèses, réalisés en partie au Japon, portent sur la restauration des habitats marins à l'aide de récifs artificiels et d'approches de gestion intégrée des zones côtières pro-actives. Il a poursuivi ses recherches en Floride dans le cadre d'un post-doctorat à la NOVA University au sujet des techniques d'ingénierie écologiques côtières et des outils de dimensionnement des mesures compensatoires selon le concept de "no net loss" (Pas de Perte Nette) au sein de la séquence Eviter Réduire et Compenser. Il développe ses travaux en Floride sur les instruments et la gouvernance de compensation des impacts anthropiques : banques de compensation côtières, méthodes de calcul des gains et pertes de biodiversité et les techniques de restauration écologique marine. Il travaille actuellement sur les problématiques d'évaluation de la compensation des impacts anthropiques, la réglementation environnementale (lois, cadres opérationnels, processus transactionnels), les techniques d’ingénierie écologique (transplants, bouturage, substrats...) et l’eco-conception des infrastructures maritimes (design, matériaux, habitats artificiels). Après 10 ans d'ingénierie en tant que chef de projet environnement, en France et à l’international, il est depuis 2011 maitre de conférence à l’université Montpellier 3 où il enseigne la géographie de l’environnement, l’aménagement des territoires sous l’angle de l’ingénierie territoriale environnementale et l’organisation des socio-écosystèmes littoraux. Il enseigne également à l’ENTPE au CNFPT, à l’Université de Corte (etc.) et à l’étranger à la NOVA University, ou en tant que conseillé de l'académie des énergies renouvelables marines du Japon.

    Sylvain Pioch is currently a researcher at CEFE laboratory and associate professor at University Paul-Valéry Montpellier in environmental/urban planning, dedicated to marine and coastal area. After a PhD in coastal geography partly done in TUMSAT (Japan), he continued as a post-doctoral fellow at Nova University (Florida, USA), and IFREMER (France) working on ecological engineering and scoring methods to value gains and losses of ecological functions. He works on issues linked to the mitigation of anthropogenic impacts, green infrastructure (harbour & maritime infrastructures, eco-designed, eco-friendly materials, artificial habitats), governance of mitigation in France and the US (laws & rules, guideline and ref. frameworks, transactional processes) and ecological engineering tools. He teaches Graduate students at University Paul-Valéry Montpellier, Nova University (Florida) and in 6 other different training programs.

  • Virginie MARIS

    PortraitVMDirectrice de recherche CNRS

    Je travaille en philosophie de l'environnement. Mes travaux portent sur l’épistémologie de l’écologie et des sciences de la conservation, l’éthique environnementale et la philosophie des politiques environnementales.

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    https://cnrs.academia.edu/VirginieMaris

    https://www.researchgate.net/profile/Virginie_Maris